Institut Mémoires de l’édition contemporaine (D24, Nef ouest)
une mission d’excellence pour un grand patrimoine écrit
Institution de conservation d’archives parmi les plus réputées d’Europe, l’Institut Mémoires de l’édition contemporaine préserve et met en valeur une collection exceptionnelle dédiée à l’histoire de la pensée et de la création contemporaines.
Depuis sa fondation, l’IMEC contribue au rayonnement de la recherche sur la vie littéraire, éditoriale, artistique et intellectuelle.

Brouillons et manuscrits, lettres, notes et carnets de travail, traductions, œuvres graphiques et photographiques, documents audiovisuels, fichiers numériques, éditions originales et documentation… cette richesse, largement inédite, documente un pan essentiel de l’histoire des idées et des formes, et restitue le foisonnement intellectuel, éditorial et artistique d’une époque.

Association d’intérêt général, l’Institut a pour vocation de pérenniser les fonds qui lui sont confiés et de les ouvrir, à travers une mission culturelle et pédagogique, auprès d’un large public.
préserver et transmettre, une ambition partagée
Ouvertes dès l’origine au monde de l’édition, du livre et des revues, les collections de l’IMEC accueillent les archives des grandes figures de la littérature de notre temps – de Jean Paulhan à Marguerite Duras, de Jean Genet à Alain Robbe-Grillet, de Philippe Soupault à Roland Dubillard. Les collections de l’Institut accueillent également un ensemble majeur consacré à la pensée contemporaine et aux sciences de l’homme, d’Emmanuel Levinas à Jacques Derrida, de Georges Duby à Jean-Pierre Vernant, de Félix Guattari à Edgar Morin. Les arts y sont, bien sûr, présents dans leur diversité : Patrice Chéreau, Gisèle Freund, Jean Hélion, Éric Rohmer, Alain Resnais, Erik Satie, Pierre Schaeffer ou Antoine Vitez. L’IMEC offre un ensemble patrimonial et documentaire de premier plan sur la vie éditoriale, littéraire et artistique de l’époque contemporaine.
une mission culturelle et pédagogique
Conserver ce patrimoine n’a de sens qu’à la condition d’en assurer la plus large diffusion. Pour permettre au public de rencontrer écrivains et chercheurs, d’échanger autour des œuvres et des grands mouvements de la pensée contemporaine, l’IMEC s’impose comme une scène littéraire de premier plan. Des projets d’éducation artistique et culturelle accompagnent la programmation et contribuent à la sensibilisation des jeunes publics. Présentation historique du monument, ateliers d’écriture, visites d’expositions et rencontres avec les acteurs des métiers du livre font découvrir la richesse de la collection et l’importance du patrimoine écrit. Éditions, expositions, prêts de pièces contribuent au rayonnement national et international des archives confiées à l’Institut.
rassembler, classer, protéger
Confiées par des auteurs ou des ayants droit, des maisons d’édition ou des associations culturelles, les archives sont préservées dans leur intégrité matérielle et leur cohérence intellectuelle, et font l’objet d’un traitement archivistique spécifique. Par le croisement de ses fonds et de ses collections (archives d’auteurs et de créateurs, de maisons d’édition, bibliothèques d’études, collections de revues), l’IMEC reconstitue, entre éditions, écriture, arts et pensée, les réseaux qui composent le tissu de la vie culturelle, et ouvre de nouvelles perspectives à la recherche.

un lieu dédié à la recherche
Venus du monde entier pour consulter les archives, les chercheurs bénéficient du service d’orientation et de conseil de l’Institut ainsi que des instruments de recherche réalisés pour l’ensemble des fonds et collections. Les chercheurs peuvent résider à l’abbaye d’Ardenne. L’Institut établit une politique de coopération professionnelle et scientifique en partenariat avec les principales institutions de recherche nationales et internationales. Colloques, workshops et séminaires favorisent les échanges et contribuent à la mise en valeur des archives. Enfin, l’abbaye d’Ardenne propose des salles de conférences, des espaces de restauration et de résidence, et offre ainsi un cadre propice à la rencontre et à la réflexion.

un site remarquable
Fondée au XIIe siècle, chargée d’histoire et longuement restaurée, l’abbaye d’Ardenne accueille l’ensemble des collections et des activités de l’IMEC.
L’abbatiale, transformée en grande bibliothèque, offre aux chercheurs le calme et la sérénité qu’avaient par le passé les bâtiments conventuels. Le pavillon des archives abrite les ateliers de traitement des archives et les magasins répondant aux normes les plus exigeantes de conservation et de sécurité.
La grande cour de ferme, les jardins, la grange aux dîmes et le pressoir accueillent manifestations, colloques et expositions, ainsi que des résidences de recherche et d’écriture.
Propriété du Conseil régional de Normandie, classée monument historique, l’abbaye a reçu le prestigieux label de Centre culturel de rencontre qui distingue des monuments historiques porteurs de projets culturels singuliers.

L'IMEC bénéficie des soutiens du ministère de la Culture et de la Communication (DRAC de Normandie) et de la Région Normandie.
Abbaye d’Ardenne | 14280 Saint-Germain-la-Blanche-Herbe | Tél. +33 (0)2 31 29 37 37

Bureau parisien | 4, avenue Marceau 75008 Paris | Tél. +33 (0)1 53 34 23 23 | www.imec-archives.com | Facebook | Twitter
Bibliothèque de l’IMEC, © Philippe Delval
Bibliothèque de l’IMEC, © Philippe Delval
Bibliothèque de l’IMEC, © Philippe Delval
Bibliothèque de l’IMEC, © Philippe Delval
Extérieur de l’Abbaye d’Ardenne, © IMEC
Extérieur de l’Abbaye d’Ardenne, © IMEC
Le département des Estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France au Salon International du Livre rare (Promenoir Nef ouest)
Le département des Estampes et de la Photographie a le grand plaisir de participer pour la douzième fois au Salon international du livre rare et de l’objet d’art. Cette manifestation incontournable offre à la Bibliothèque nationale de France  la possibilité de présenter une sélection de pièces remarquables. Le temps du Salon, le public amateur et éclairé peut ainsi avoir accès à des œuvres souvent peu exposées. C’est également pour lui l’occasion d’échanger avec les responsables des collections et de s’informer sur le département, dont les salles de lecture accueillent, tout au long de l’année, étudiants, artistes, chercheurs et passionnés d’arts graphiques.

Le département des Estampes et de la Photographie de la BnF a rassemblé et conserve, depuis sa fondation par Colbert en 1667, une collection d’une dizaine de millions d’estampes, d’affiches et d’imagerie de leurs origines à nos jours, toutes écoles confondues. Ainsi constitué, ce fonds apparaît aujourd’hui comme l’un des plus anciens et des plus riches au monde. Il ne cesse de s’enrichir grâce aux dons et à la générosité de grands collectionneurs et mécènes et par le dépôt légal des graveurs et éditeurs, toujours en vigueur, qui permet aux œuvres des artistes contemporains de côtoyer celles des maîtres anciens.

Autour du thème du génie créateur, le stand de la BnF présentera une sélection d’estampes, dessins et affiches où dialogueront des œuvres de l’époque moderne à la période contemporaine. L’estampe est un médium qui offre la possibilité exceptionnelle de suivre les étapes du travail de l’artiste : au fil des divers « états » de l’estampe, la matrice gravée évolue et donne lieu à des tirages qui documentent le travail du graveur tout en constituant des œuvres en soi. Tirages d’état ou estampes inachevées, mises en couleur, estampe « avant la lettre » : nous verrons directement le génie créatif de ces artistes se dérouler devant nous !​​​​​​​
Charles Meryon, Collège Henri IV, eau-forte, 1864. BnF, Estampes, RESERVE EF-397-BOITE FOL et RESERVE EF-397 (4)-FOL
Charles Meryon, Collège Henri IV, eau-forte, 1864. BnF, Estampes, RESERVE EF-397-BOITE FOL et RESERVE EF-397 (4)-FOL
Charles Meryon, Collège Henri IV, eau-forte, 1864. BnF, Estampes, RESERVE EF-397-BOITE FOL et RESERVE EF-397 (4)-FOL
Charles Meryon, Collège Henri IV, eau-forte, 1864. BnF, Estampes, RESERVE EF-397-BOITE FOL et RESERVE EF-397 (4)-FOL
Rembrandt, L’Artiste dessinant d’après le modèle, eau-forte, 1639 (?). BnF, Estampes, RESERVE CB-13 (A)-BOITE
Rembrandt, L’Artiste dessinant d’après le modèle, eau-forte, 1639 (?). BnF, Estampes, RESERVE CB-13 (A)-BOITE
Henri de Toulouse-Lautrec, Aux Ambassadeurs - Chanteuse au café-concert (épreuve d'essai sur vélin en jaune, beige et rose saumon, et état définitif), lithographie, 1894. BnF, Estampes, RESERVE DC-361 (4)-FOL
Henri de Toulouse-Lautrec, Aux Ambassadeurs - Chanteuse au café-concert (épreuve d'essai sur vélin en jaune, beige et rose saumon, et état définitif), lithographie, 1894. BnF, Estampes, RESERVE DC-361 (4)-FOL
Henri de Toulouse-Lautrec, Aux Ambassadeurs - Chanteuse au café-concert (épreuve d'essai sur vélin en jaune, beige et rose saumon, et état définitif), lithographie, 1894. BnF, Estampes, RESERVE DC-361 (4)-FOL
Henri de Toulouse-Lautrec, Aux Ambassadeurs - Chanteuse au café-concert (épreuve d'essai sur vélin en jaune, beige et rose saumon, et état définitif), lithographie, 1894. BnF, Estampes, RESERVE DC-361 (4)-FOL
L’ASSOCIATION CULTURELLE DES BOUQUINISTES DE PARIS - Stand E4, Nef sud
La Seine est le seul fleuve au monde qui coule au milieu des livres...

Qui d'autre que le grand poète Guillaume Apollinaire pouvait livrer aussi belle définition du cœur de Paris où, depuis maintenant des siècles, se tient quotidiennement cette incroyable librairie à ciel ouvert constituée par l'ensemble des bouquinistes des quais parisiens ?
Cette concentration unique au monde de 230 libraires installés en plein air, répartis de part et d'autre du lit d'un fleuve est véritablement sans aucun équivalent sur notre belle planète ! Cela n'existe et ne peut se vivre qu'ici, à Paris.
Comme l'a si bien écrit Anna Gavalda : "Paris, sans les bouquinistes, ne serait plus une Fête!"...
Élément patrimonial et culturel de tout premier ordre, au même titre que la tour Eiffel ou la butte Montmartre, ils sont absolument indissociables du paysage parisien et constituent une étape obligée pour les millions de touristes qui, chaque année, visitent notre belle capitale.

Sorte de "chaînon manquant" entre la librairie de neuf et celle de la bibliophilie, les bouquinistes proposent principalement des ouvrages épuisés chez les premiers et de valeur encore trop modeste pour les seconds. Le fait de travailler à ciel ouvert, et la liberté qui découle de la légèreté de leur structure professionnelle, n'empêche pas que vous pourrez rencontrer parmi eux des libraires aux compétences du plus haut niveau, capables d'en remontrer aux meilleurs ! Leur positionnement sur la voie publique avec un accès direct aux livres et un contact avec le libraire sans entraves d’aucune sorte permet de fructueux échanges culturels. Ils constituent aussi un efficace réseau de relais vers leurs collègues installés en boutiques pour des clients très pointus ...

Installés pour un tiers d'entre eux sur la rive droite, entre le musée du Louvre et le pont Marie, les deux autres tiers se répartissent sur l'autre rive, de la rue du Bac à l'Institut du Monde Arabe. C'est en effet sur la rive gauche, traditionnellement celle des universités mais aussi des éditeurs, imprimeurs, libraires et autres acteurs de l'univers du Livre qu'ils sont les plus nombreux. Une parité relative est établie avec environ 85 femmes pour 145 hommes. Leurs fameuses boîtes vert wagon, couleur réglementaire, sont disséminées sur cinq arrondissement différents : Ier, IVe, Ve, VIe et VIIe. C'est sur le VIIe qu'ils sont les moins nombreux, une douzaine, et dans le Ve que l’on peut en rencontrer
le plus grand nombre, soit environ soixante-dix.

Ce microcosme est composé de personnalités des plus diverses et aux parcours professionnels très variés. Bouquiniste est très rarement le premier choix qu'ils ont fait pour entrer dans leur vie professionnelle. L'âge de ces curieux libraires s'inscrit dans une fourchette qui va de 25 à 90 ans et le métier requiert une certaine indifférence, ou des nerfs solides, pour faire face tout au long de l'année aux variations climatiques qui ne constituent pas le moindre des points du cahier des charges de cette profession.

Les concessions - chaque bouquiniste est titulaire de l'une d'entre elles -,  sont aujourd'hui au nombre de 237. Elles sont attribuées après examen des dossiers des nombreux postulants par une commission expressément réunie à cet effet une fois par an par la Ville de Paris. C'est cette dernière qui reste propriétaire des emplacements et veille au respect du règlement.

Il n'en a pas toujours, certes, été ainsi. La profession est pluricentenaire et n'a pas revêtu dès ses origines l'aspect que nous lui connaissons aujourd'hui avec ces séries de grandes boîtes. « Boîte » est d'ailleurs le terme retenu par les bouquinistes pour désigner ces grands coffres verts dans lesquels ils rangent les livres ou autres marchandises qu'ils
proposent aux passants. Par autres marchandises, comprenez un peu de petite brocante, une tradition sur les quais, mais aussi, hélas, parfois un peu trop de produits servilement touristiques. Pour l'anecdote, sachez également que quand des bouquinistes se font aider, voire remplacer ponctuellement dans l'exploitation de leur commerce par une tierce personne, cette dernière est qualifiée « d'ouvre-boîtes »...

A ses débuts, que l'on peut situer quelques décennies après l'invention de l'imprimerie avec l'apparition d'un nouveau marché, celui des premiers livres imprimés d'occasion, le bouquiniste s'apparente plutôt à un colporteur. Ce pré-bouquiniste propose sa marchandise soit dans une petite caisse portée en bandoulière, soit étalée sur une toile à même le sol. Il exerce sur un périmètre situé déjà au cœur de la cité mais très réduit. Très rares sont alors les quais maçonnés. La plupart sont encore à l'état de grèves boueuses et le resteront jusqu'au premier Empire. Certains, comme le quai Saint-Michel, sont construits au ras de la grève. Quand aux ponts, jusqu'à l'inauguration du Pont-Neuf en 1605, qui sera le premier pont-promenade et donc ne supportant aucune maison, ils sont tous bâtis.  Le Pont Neuf va demeurer longtemps le seul pont de Paris non bâti d'édifices, ce qui va y engendrer la cohabitation d'une multitude de petits métiers très variés, du toiletteur de chiens au rémouleur mais aussi les premiers bouquinistes !...
C’est Savary qui va livrer dans son dictionnaire de 1723 la première définition officielle du terme Bouquiniste : "Pauvres libraires qui, n'ayant pas les moyens de tenir boutique ni de vendre du neuf, estaloyent de vieux livres sur le Pont-Neuf, le long des quais et en quelques autres endroits de la ville...".
Ils sont alors, et cela jusqu'au début du XIXe siècle, tout au plus quelques dizaines à avoir une autorisation d'exercer. Et encore... Sujets de la jalousie de leurs confrères en boutiques qui y voient une concurrence déloyale, mais aussi surveillés de près par les autorités royales et religieuses, ils sont régulièrement l'objet d'arrêts leur interdisant pour une durée plus ou moins longue tout commerce. Ceci sera particulièrement sensible au milieu du XVIIe siècle, pendant la Fronde.
Ils contribuent alors à la diffusion, sous le manteau, de ces fameuses plaquettes critiques du pouvoir, les Mazarinades. Ils se voient parfois confisquer leur marchandise et certains goûteront même parfois à la paille des cachots ... On ne peut pas toujours jouer avec la politique ou les bonnes  mœurs sans risquer quelques dommages...
C’est avec Napoléon Ier que les choses vont évoluer. Il va urbaniser considérablement la capitale et faire maçonner les quais du centre de la ville. Cela va contribuer à élargir le périmètre d'exercice de nos bouquinistes et leur nombre va croître. De quelques dizaines d'autorisations au début du XIXe siècle, ils seront 75 titulaires en 1865, 156 en 1892, 204 en 1920 et environ 230 aujourd'hui.

La base du règlement qui les régit a été établie en 1857, mais c'est 1891 qui reste la date charnière : c'est cette année là que la Ville autorise enfin les bouquinistes à laisser leur marchandise la nuit sur leur lieu de vente. Les nombreuses caisses vont se métamorphoser en ces grands coffres de deux mètres de longueur chacun que nous connaissons toujours. Leurs dimensions feront l'objet d'une mise au point et d'un arrêté municipal en 1930. L'autre date importante est le 27 janvier 1943 : les concessions des bouquinistes sont réduites de deux mètres et passent de 10 mètres à 8 mètres. Ce sont plus de 400 mètres linéaires de  boîtes qui disparaissent ! Entre 80 000 et 100 000 livres quittent les quais ! 20% des livres alors proposés sont retirés de la vente ! Et ils ne sont toujours pas revenus ! En ces temps difficiles pour le livre papier, restituer aux bouquinistes cette cinquième boîte serait une bien belle idée pour redynamiser l'attractivité des quais et redonner encore plus de sens à ce symbole parisien que sont les bouquinistes des quais.  C'est d'ailleurs la principale requête formulée auprès de la Mairie de Paris par l'Association Culturelle des Bouquinistes de Paris (association qui
fédère plus de 80 % des bouquinistes des quais) et, si sa mise en application n'est pas simple, elle est cependant tout à fait réalisable dans le temps, sur quelques années tout au plus...
 Jérôme Callais, bouquiniste
Pour plus d’information :
bouquinistesdesquais@laposte.net
pour communiquer avec le président de l’association, Jérôme Callais, la trésorière, Sylvie Mathias, et le secrétaire, Michel Bouetard
CATALOGUE 2018
LES EXPOSANTS 2018
PHOTOS/VIDÉO
GALERIE
ibrairie Ancienne Jean-Marc DECHAUD - Herburt de Fulstin, Histoire des Roys et Princes de Poloigne, maroquin brun orné d'un décor de deuil aux emblemes de Catherine de Medicis
ibrairie Ancienne Jean-Marc DECHAUD - Herburt de Fulstin, Histoire des Roys et Princes de Poloigne, maroquin brun orné d'un décor de deuil aux emblemes de Catherine de Medicis
Librairie Laurent COULET - Marot Clément, L'adolescence Clémentine, 1536
Librairie Laurent COULET - Marot Clément, L'adolescence Clémentine, 1536
Librairie CHAMONAL -   Louis Boilly, 1827, Lithographie faisant partie d'une collection de 65 ouvrages sur les Indiens d'Amerique du Nord
Librairie CHAMONAL - Louis Boilly, 1827, Lithographie faisant partie d'une collection de 65 ouvrages sur les Indiens d'Amerique du Nord
Librairie des CARRÉS -   Reliure Art Déco de Rose Adler, 1925, pour Le songe d'une femme, ouvrage de Remy de Gourmont, illustré par Laboureur
Librairie des CARRÉS - Reliure Art Déco de Rose Adler, 1925, pour Le songe d'une femme, ouvrage de Remy de Gourmont, illustré par Laboureur
Librairie Gaëlle CAMBON - Benjamin Rabier, Les aventures de renard, six panneaux lithographiés à l'usage des écoles, 1935
Librairie Gaëlle CAMBON - Benjamin Rabier, Les aventures de renard, six panneaux lithographiés à l'usage des écoles, 1935
Librairie BUSSER - Almanach pour l'annee 1792, maroquin vert portant l'inscription
Librairie BUSSER - Almanach pour l'annee 1792, maroquin vert portant l'inscription
Librairie BERTRAN - Coutume Coustumier du Pays et duché de Normandie, Paris, Jean du Pré, 1483
Librairie BERTRAN - Coutume Coustumier du Pays et duché de Normandie, Paris, Jean du Pré, 1483
Antiquariato Librario BADO E MART - Bayer Johann, Uranometria, 1603
Antiquariato Librario BADO E MART - Bayer Johann, Uranometria, 1603
Librairie Les AUTODIDACTES - Michael Bowen, a Journey to Nepal He who is the Greater is the servant of the Other, 1970
Librairie Les AUTODIDACTES - Michael Bowen, a Journey to Nepal He who is the Greater is the servant of the Other, 1970
ARTVIE Galerie Sylvie Vervaët - Arthur Aeschbacher, Une tasse, 1960, collage sur papier marouflé sur toile par l'artiste
ARTVIE Galerie Sylvie Vervaët - Arthur Aeschbacher, Une tasse, 1960, collage sur papier marouflé sur toile par l'artiste
LES AMAZONES -   Valentine Hugo Gross, Petrouchka, bois gravé
LES AMAZONES - Valentine Hugo Gross, Petrouchka, bois gravé